L'auteure se demande quelle place les religions accordent aux femmes, et en conclut que seule l'expérience spirituelle peut amener les deux sexes à dépasser les conventions du féminin et du masculin.
Inspirés des Koan, problèmes posés aux élèves par les maîtres zen, ces contes montrent comment le héros ne peut sortir d'un problème insoluble, qu'en passant dans une autre dimension, inimaginable pour lui et jusque là non perçue. Chacune des histoires est en fait un miroir de soi.